Des praticiens des secteurs de psychiatrie ont été contactés par les préfectures pour participer à des cellules d’intervention relatives à la radicalisation islamiste.
Le SPH et l’ASPMP demandent à la ministre de la Santé de préciser sous quelles modalités le secteur de psychiatrie doit intervenir, tout en précisant qu’il faut être attentif à ne pas « psychiatriser » toutes les situations de radicalisation.